La Valse lente des tortues de Katherine Pancol
La Valse lente des tortues est la suite des
J'avais bien aimé le déroulement de l'histoire, le ton employé, la façon de raconter, donc la suite m'attirait fortement. Et en fait, j'ai aimé, mais j'ai été un peu déçue. Principalement par le changement de ton dans le récit. Ce qu'on suivait, et que j'aimais, c'était l'histoire d'une famille, tout simplement, rien de grandiloquent. Là déjà, dans le second tome, l'histoire se déroule sur fond de meurtres et Joséphine manque également de se faire assassiner. Voilà. Vous me direz ça peut arriver à n'importe qui, mais je trouve que du coup, on change de registre. Ensuite, ce qui arrive à Marcel, le beau-père et sa compagne, et ben là, on s'envole carrément dans le fantastique, nan mais je suis pas franchement convaincue du parti pris sur Marcel Jr., mais soit.
En revanche, j'ai été ravie de retrouver Hortense, qui était insupportable dans le premier tome et qui là grandit, gagne en humanité, j'aime ça. J'aime voir les personnages évoluer. Henriette, la maman, m'a beaucoup amusée aussi. Joséphine quant à elle, toujours pleine de doutes, effacée, peinant à s'affirmer, pourtant elle y vient petit à petit, elle prend confiance, commence à se faire confiance aussi et ça c'est plaisant. Par contre, Philippe que j'aimais bien est devenu mou, fade j'ai trouvé, du coup, c'était un peu compliqué pour moi la romance de l'histoire.
Et on arrive au cas le plus important du récit, Iris. Iris, insupportable au début du récit, complètement effacée en deuxième partie (un peu comme mise de côté dans le récit, tout en étant présente, étrange) et alors, la troisième partie est pour elle. Mais de façon particulière. Parce que bon, sans trop entrer dans les détails du pourquoi du comment, on tombe en pleine manipulation mentale. La bien hard, un peu celle des sectes, qui vous prend, retourne le cerveau et vous fait faire des choses improbables en vous faisant croire que c'est pour votre propre bien. Et donc, je ne m'y attendais pas DU TOUT. Je pensais vraiment pas tomber sur ça en lisant cette histoire. J'ai été mise à mal, je pourrai dire. Parce qu'on se retrouve prisonnier du récit. On voit un personnage qu'on connait (qu'on aime ou pas mais qu'on a côtoyé) sombrer complètement sans pouvoir rien y faire. Sans avoir le pouvoir de la sortir de là. Et on espère, au fil du récit que quelqu'un le fera pour nous.
Alors je ne vous dis pas si elle s'en sort ou pas. Mais quand j'ai fini le livre c'est des scènes qui me sont restées en tête.
Donc l'histoire change fondamentalement de ton, préparez-vous quand même à la fin, mais c'est resté une lecture agréable.
Yeux jaunes des crocodiles que j'avais adoré pour sa légèreté fantasque. Pour situer, ça raconte l'histoire d'une famille mais plus précisément de Joséphine Cortès, chercheuse au CNRS, spécialiste du Moyen-Âge. Il y a aussi ses filles, l'insensible Hortense et la bébé Zoé, son mari avec qui elle se sépare au début de l'histoire, sa sœur ainée, l'étincelante Iris et son mari Philippe, sa mère et son beau-père. Pour faire rapide, Iris, en manque de gloire, fait croire lors d'un dîner avec un ami éditeur qu'elle écrit un roman sur une femme au 12e siècle (soit le sujet de sa sœur). Bien sûr dans l'incapacité d'écrire le roman, elle demande à Joséphine de le faire en lui promettant tous les bénéfices en échange de quoi, elle se fait passer pour l'auteur auprès de tous.
J'avais bien aimé le déroulement de l'histoire, le ton employé, la façon de raconter, donc la suite m'attirait fortement. Et en fait, j'ai aimé, mais j'ai été un peu déçue. Principalement par le changement de ton dans le récit. Ce qu'on suivait, et que j'aimais, c'était l'histoire d'une famille, tout simplement, rien de grandiloquent. Là déjà, dans le second tome, l'histoire se déroule sur fond de meurtres et Joséphine manque également de se faire assassiner. Voilà. Vous me direz ça peut arriver à n'importe qui, mais je trouve que du coup, on change de registre. Ensuite, ce qui arrive à Marcel, le beau-père et sa compagne, et ben là, on s'envole carrément dans le fantastique, nan mais je suis pas franchement convaincue du parti pris sur Marcel Jr., mais soit.
En revanche, j'ai été ravie de retrouver Hortense, qui était insupportable dans le premier tome et qui là grandit, gagne en humanité, j'aime ça. J'aime voir les personnages évoluer. Henriette, la maman, m'a beaucoup amusée aussi. Joséphine quant à elle, toujours pleine de doutes, effacée, peinant à s'affirmer, pourtant elle y vient petit à petit, elle prend confiance, commence à se faire confiance aussi et ça c'est plaisant. Par contre, Philippe que j'aimais bien est devenu mou, fade j'ai trouvé, du coup, c'était un peu compliqué pour moi la romance de l'histoire.
Et on arrive au cas le plus important du récit, Iris. Iris, insupportable au début du récit, complètement effacée en deuxième partie (un peu comme mise de côté dans le récit, tout en étant présente, étrange) et alors, la troisième partie est pour elle. Mais de façon particulière. Parce que bon, sans trop entrer dans les détails du pourquoi du comment, on tombe en pleine manipulation mentale. La bien hard, un peu celle des sectes, qui vous prend, retourne le cerveau et vous fait faire des choses improbables en vous faisant croire que c'est pour votre propre bien. Et donc, je ne m'y attendais pas DU TOUT. Je pensais vraiment pas tomber sur ça en lisant cette histoire. J'ai été mise à mal, je pourrai dire. Parce qu'on se retrouve prisonnier du récit. On voit un personnage qu'on connait (qu'on aime ou pas mais qu'on a côtoyé) sombrer complètement sans pouvoir rien y faire. Sans avoir le pouvoir de la sortir de là. Et on espère, au fil du récit que quelqu'un le fera pour nous.
Alors je ne vous dis pas si elle s'en sort ou pas. Mais quand j'ai fini le livre c'est des scènes qui me sont restées en tête.
Donc l'histoire change fondamentalement de ton, préparez-vous quand même à la fin, mais c'est resté une lecture agréable.
Yeux jaunes des crocodiles que j'avais adoré pour sa légèreté fantasque. Pour situer, ça raconte l'histoire d'une famille mais plus précisément de Joséphine Cortès, chercheuse au CNRS, spécialiste du Moyen-Âge. Il y a aussi ses filles, l'insensible Hortense et la bébé Zoé, son mari avec qui elle se sépare au début de l'histoire, sa sœur ainée, l'étincelante Iris et son mari Philippe, sa mère et son beau-père. Pour faire rapide, Iris, en manque de gloire, fait croire lors d'un dîner avec un ami éditeur qu'elle écrit un roman sur une femme au 12e siècle (soit le sujet de sa sœur). Bien sûr dans l'incapacité d'écrire le roman, elle demande à Joséphine de le faire en lui promettant tous les bénéfices en échange de quoi, elle se fait passer pour l'auteur auprès de tous.