Jane
Cette semaine, je n'ai pas fait de découverte transcendante qui me permette de faire une chronique aujourd'hui, alors je vais vous sortir un film de ma manche où James McAvoy joue dedans. Ben oui, c'est mon joker et un jour j'arriverai probablement à bout de ses films. Bref, aujourd'hui on parle de film historique, très très vaguement biographique (ce qui ne m'empêche pas d'adoré ce film), j'ai nommé Jane !
1795, Tom Lefroy est envoyé à la campagne par son oncle. Fêtard invétéré, l'oncle aimerai le voir s'assagir un peu. Là-bas, il y fait la connaissance d'une certaine Jane Austen... Jane va le trouver rustre et malpoli et très vite tous les deux vont se lancer dans quelques joutes verbales et les réticences du début vont peu à peu se transformer en attraction. Mais pour ce que l'on sait, Jane Austen n'a jamais été mariée.
Grande fervente de Jane Austen, je ne pouvais que désirer ardemment voir ce film. Et je n'ai pas été déçue. Bon, je ne suis pas certaine de la véracité complète de cette romance, même si romance il y a eu, mais je m'en fiche ! On voit que l'histoire personnelle de Jane et de sa famille va influencer des récits postérieurs. Le personnage est vif, caustique et a un regard acerbe sur la gentry et j'aime beaucoup parce que je ne voyais pas comment elle aurait pu être différente. Tom Lefroy est exactement comme j'aime, cabotin et coureur au début et pourtant on s'aperçoit qu'il est bien plus profond que ce qu'il veut bien laisser croire.
Et je ne peux pas parler de ce film sans mentionner la scène de bal. Bon sang cette scène. Elle m'a toute tourneboulée (oui, bon, j'utilise des expressions mortes depuis 50 ans). Si j'aimais bien James McAvoy jusque-là, je l'ai juste tellement adorée après ça. Bien évidemment qu'il fallait une scène de bal pour Jane Austen (celui-là est le second) et sans qu'ils prononcent un mot, j'ai complètement fondue. Mais ce n'est pas tout hein ? Dans ce film il y a aussi une partie de criquet, deux paires de fesses, un livre défendu, des drames, de la tristesse, tout plein d'amour et des cochons... Si après ça vous n'avez pas envie de le voir (surtout pour les cochons, avouez), je ne peux plus rien pour vous.
1795, Tom Lefroy est envoyé à la campagne par son oncle. Fêtard invétéré, l'oncle aimerai le voir s'assagir un peu. Là-bas, il y fait la connaissance d'une certaine Jane Austen... Jane va le trouver rustre et malpoli et très vite tous les deux vont se lancer dans quelques joutes verbales et les réticences du début vont peu à peu se transformer en attraction. Mais pour ce que l'on sait, Jane Austen n'a jamais été mariée.
Grande fervente de Jane Austen, je ne pouvais que désirer ardemment voir ce film. Et je n'ai pas été déçue. Bon, je ne suis pas certaine de la véracité complète de cette romance, même si romance il y a eu, mais je m'en fiche ! On voit que l'histoire personnelle de Jane et de sa famille va influencer des récits postérieurs. Le personnage est vif, caustique et a un regard acerbe sur la gentry et j'aime beaucoup parce que je ne voyais pas comment elle aurait pu être différente. Tom Lefroy est exactement comme j'aime, cabotin et coureur au début et pourtant on s'aperçoit qu'il est bien plus profond que ce qu'il veut bien laisser croire.
Et je ne peux pas parler de ce film sans mentionner la scène de bal. Bon sang cette scène. Elle m'a toute tourneboulée (oui, bon, j'utilise des expressions mortes depuis 50 ans). Si j'aimais bien James McAvoy jusque-là, je l'ai juste tellement adorée après ça. Bien évidemment qu'il fallait une scène de bal pour Jane Austen (celui-là est le second) et sans qu'ils prononcent un mot, j'ai complètement fondue. Mais ce n'est pas tout hein ? Dans ce film il y a aussi une partie de criquet, deux paires de fesses, un livre défendu, des drames, de la tristesse, tout plein d'amour et des cochons... Si après ça vous n'avez pas envie de le voir (surtout pour les cochons, avouez), je ne peux plus rien pour vous.
Cette bande-annonce est tellement horrible que je n'ai pas pu la regardée jusqu'à la fin, mais c'est la seule...