La Planète des singes : l'affrontement
Le choix de monsieur cette semaine, c'était le second opus des origines de La Planète des singes. C'était soit ça, soit World War Z et tant que je pourrai échapper aux films de zombies, je le ferai !
J'avais lu le bouquin il y a fort longtemps et je ne me souviens pas de grand chose à part de la double révélation choc finale ! Et aussi que ça n'a donc rien à voir avec ces deux films. Cependant, ça n'a que peut d'importance.
Dans le premier opus, on voyait César de sa naissance ou presque jusqu'à l'indépendance des singes et surtout, pourquoi il en était arrivé là.
Donc, dans ce second opus, l'histoire se passe 10 ans après une grippe simienne, autant dire qu'on se retrouve dans un monde post-apocalyptique. Une faible partie de la population a survécu et vit retranchée, coupée du monde car sans électricité. De l'autre côté, les singes, dirigés par César, vivent dans la forêt et ont formé un village de constructions sommaires. César est désormais père de famille et singe respecté, sage. Une seule règle prévaut : Les singes ne tuent pas les singes. L'union fait leur force.
Malheureusement, lorsqu'un groupe d'humain croise leur route, pour trouver un barrage qui alimenterait leur ville, les tensions se ravivent. D'abord, César part les impressionner pour qu'ils ne s'approchent plus de chez eux. Alors que la réaction du chef humain (Gary Oldman, qui est partout) est d'aller les attaquer, Malcom (Jason Clarke qu'on voit de plus en plus, pour mon plus grand plaisir) décide de tester la diplomatie. Et il réussit. Lui, sa compagne, son fils et quelques autres partent pour rallumer le barrage et obtiennent l'aide de César.
Malheureusement certains singes, dont Koba, qui n'a pas eu le même traitement avec l'homme avant sa liberté ne parvient pas à faire confiance aux humains et va mettre le feu aux poudres.
J'ai aimé le film. Bon, il y a quelques longueur, mais j'ai aimé voir comment singes et hommes créent une nouvelle société. Les singes ont gagné l'humanité, ce qui veut dire, ses bons et ses mauvais côtés. Et César qui est profondément bon,finit le coeur brisé de voir cela. Des deux côtés, on voit la transmission, la relation père/fils et c'est super intéressant.
Maintenant, la fin est vraiment pas franchement originale, petite déception, mais avance petit à petit vers le règne simien ! J'ai hâte de voir comment César va vivre avec tout ça. Parce que l'animation et le travail d'Andy Serkis sont tellement fabuleuses que vraiment, César est hyper expressif !
A voir donc !
J'avais lu le bouquin il y a fort longtemps et je ne me souviens pas de grand chose à part de la double révélation choc finale ! Et aussi que ça n'a donc rien à voir avec ces deux films. Cependant, ça n'a que peut d'importance.
Dans le premier opus, on voyait César de sa naissance ou presque jusqu'à l'indépendance des singes et surtout, pourquoi il en était arrivé là.
Donc, dans ce second opus, l'histoire se passe 10 ans après une grippe simienne, autant dire qu'on se retrouve dans un monde post-apocalyptique. Une faible partie de la population a survécu et vit retranchée, coupée du monde car sans électricité. De l'autre côté, les singes, dirigés par César, vivent dans la forêt et ont formé un village de constructions sommaires. César est désormais père de famille et singe respecté, sage. Une seule règle prévaut : Les singes ne tuent pas les singes. L'union fait leur force.
Malheureusement, lorsqu'un groupe d'humain croise leur route, pour trouver un barrage qui alimenterait leur ville, les tensions se ravivent. D'abord, César part les impressionner pour qu'ils ne s'approchent plus de chez eux. Alors que la réaction du chef humain (Gary Oldman, qui est partout) est d'aller les attaquer, Malcom (Jason Clarke qu'on voit de plus en plus, pour mon plus grand plaisir) décide de tester la diplomatie. Et il réussit. Lui, sa compagne, son fils et quelques autres partent pour rallumer le barrage et obtiennent l'aide de César.
Malheureusement certains singes, dont Koba, qui n'a pas eu le même traitement avec l'homme avant sa liberté ne parvient pas à faire confiance aux humains et va mettre le feu aux poudres.
J'ai aimé le film. Bon, il y a quelques longueur, mais j'ai aimé voir comment singes et hommes créent une nouvelle société. Les singes ont gagné l'humanité, ce qui veut dire, ses bons et ses mauvais côtés. Et César qui est profondément bon,finit le coeur brisé de voir cela. Des deux côtés, on voit la transmission, la relation père/fils et c'est super intéressant.
Maintenant, la fin est vraiment pas franchement originale, petite déception, mais avance petit à petit vers le règne simien ! J'ai hâte de voir comment César va vivre avec tout ça. Parce que l'animation et le travail d'Andy Serkis sont tellement fabuleuses que vraiment, César est hyper expressif !
A voir donc !