Pénélope
Je ne vais pas commencer par un de mes films préféré ever, mais une petite comédie sympathique que j’aime beaucoup, Pénélope et qui a en plus le mérite de voir jouer un de mes acteurs préférés, James McAvoy.
Alors, Pénélope n’est pas l’histoire de Madame Ulysse (encore qu’elles ont des petits points communs, mais nous y reviendront) mais d’une jeune femme du même nom, qui, suite à une malédiction familiale, s’est retrouvée avec un groin à la place du nez, somme toute pas très pratique. Et la presse s’est un peu emparée de l’affaire, dont un journaliste teigneux (l’excellant Peter « Tyrion » Dinklage) qui n’aura pas de cesse de vouloir la prendre en photo. Donc pour la protéger, papa et maman Pénélope l’ont fait passer pour morte. Normal, hyper sain et ça ne s’arrête pas là. Ils enferment la petite Penelope dans ses appartements (ils ont une grande maison), l’empêchant de sortir. Bien sûr, comme chaque malédiction, il existe un contre sort qui là est : si un jour, une personne de la noblesse (car Pénélope fait partie de la noblesse) vint à l’aimer, le sortilège sera rompu. Ce qui fait que ses parents, surtout sa mère, au lieu de se dire, bon, tu as un groin, c’est certes pas très seyant, mais tu es une personne formidable, grandit, vit ta vie… n’auront de cesse de lui trouver un époux dans la noblesse. Et c’est là le premier point commun avec la Pénélope d’Ithaque, toutes les deux vont voir défiler une pléiade de prétendants, qu’elles refuseront toutes les deux. En fait, pour Pénélope du film, ses parents font signer des papiers de confidentialité aux jeunes prétendants avec de la rencontrer. Mais dès la rencontre, les jeunes hommes partent en courant, du coup, une nouvelle technique est mise en place, Pénélope fera une visite derrière une vitre sans teint pour faire connaissance et voir s’il y a des affinités avant de se présenter.
Un jour, avec une nouvelle fournée, se présente Max (James McAvoy tout choupinou), engagé pour la prendre en photo par un ancien prétendant que personne ne croit quand il dit qu’elle a une tête de cochon et le journaliste teigneux qui n’a pas oublié l’affaire, loin de là. Max a aussi un point commun avec Ulysse, pour le coup, mais je ne peux pas trop dire, sous peine de spoiler l’histoire pour ceux qui n’ont pas vu le film. Pénélope en a marre, sort le bout de son nez ou plutôt groin, tout le monde part, sauf Max qui ne l’a pas vue et est donc resté. Finalement, ils vont faire connaissance, chacun de son côté de la glace… Pour pas tout vous raconter, Pénélope va finir par fuir chez elle en suivant les conseils de Max et découvrir le monde extérieur, tout en cachant la moitié de son visage et fuyant ses parents.
L’histoire est fraiche, sympathique, la résolution de la malédiction, pas du tout comme on s’attend et à la fin, on se surprend à trouver Christina Richie plus jolie avec son groin qu’avec son mignon petit nez. James McAvoy est donc parfait en prétendant, tout mignon avec ses grands yeux et qui nous fait quand même vibrer. Il se dégage du film une vraie ambiance de conte, un peu féérique, très jolie. Je veux dire, qui ne voudrait pas la chambre de Pénélope ? C’est un bon petit film à voir emmitouflé dans une couverture le dimanche après-midi avec un chat pour bouillote. Bon, en revanche, mesdemoiselles, peu de chance que monsieur vous accompagne… En tout cas, le mien n’a pas été hyper palpité, je crois même qu’il avait fait un repli stratégique dans ses quartiers.
Je suis contente, je n’ai pas trop fait pas de mon amour pour James, mais promis, je me rattraperai dans d’autres chroniques de ses films où là… Je pourrai me lâcher !
Désolée, la Bande Annonce est en anglais, j'en ai pas trouvé de sous-titrée, et la française était immonde. Ceci dit, admirez l'oeil fripon de James quand on le présente huhu (et je parle pas de son accent écossais...)
Alors, Pénélope n’est pas l’histoire de Madame Ulysse (encore qu’elles ont des petits points communs, mais nous y reviendront) mais d’une jeune femme du même nom, qui, suite à une malédiction familiale, s’est retrouvée avec un groin à la place du nez, somme toute pas très pratique. Et la presse s’est un peu emparée de l’affaire, dont un journaliste teigneux (l’excellant Peter « Tyrion » Dinklage) qui n’aura pas de cesse de vouloir la prendre en photo. Donc pour la protéger, papa et maman Pénélope l’ont fait passer pour morte. Normal, hyper sain et ça ne s’arrête pas là. Ils enferment la petite Penelope dans ses appartements (ils ont une grande maison), l’empêchant de sortir. Bien sûr, comme chaque malédiction, il existe un contre sort qui là est : si un jour, une personne de la noblesse (car Pénélope fait partie de la noblesse) vint à l’aimer, le sortilège sera rompu. Ce qui fait que ses parents, surtout sa mère, au lieu de se dire, bon, tu as un groin, c’est certes pas très seyant, mais tu es une personne formidable, grandit, vit ta vie… n’auront de cesse de lui trouver un époux dans la noblesse. Et c’est là le premier point commun avec la Pénélope d’Ithaque, toutes les deux vont voir défiler une pléiade de prétendants, qu’elles refuseront toutes les deux. En fait, pour Pénélope du film, ses parents font signer des papiers de confidentialité aux jeunes prétendants avec de la rencontrer. Mais dès la rencontre, les jeunes hommes partent en courant, du coup, une nouvelle technique est mise en place, Pénélope fera une visite derrière une vitre sans teint pour faire connaissance et voir s’il y a des affinités avant de se présenter.
Un jour, avec une nouvelle fournée, se présente Max (James McAvoy tout choupinou), engagé pour la prendre en photo par un ancien prétendant que personne ne croit quand il dit qu’elle a une tête de cochon et le journaliste teigneux qui n’a pas oublié l’affaire, loin de là. Max a aussi un point commun avec Ulysse, pour le coup, mais je ne peux pas trop dire, sous peine de spoiler l’histoire pour ceux qui n’ont pas vu le film. Pénélope en a marre, sort le bout de son nez ou plutôt groin, tout le monde part, sauf Max qui ne l’a pas vue et est donc resté. Finalement, ils vont faire connaissance, chacun de son côté de la glace… Pour pas tout vous raconter, Pénélope va finir par fuir chez elle en suivant les conseils de Max et découvrir le monde extérieur, tout en cachant la moitié de son visage et fuyant ses parents.
L’histoire est fraiche, sympathique, la résolution de la malédiction, pas du tout comme on s’attend et à la fin, on se surprend à trouver Christina Richie plus jolie avec son groin qu’avec son mignon petit nez. James McAvoy est donc parfait en prétendant, tout mignon avec ses grands yeux et qui nous fait quand même vibrer. Il se dégage du film une vraie ambiance de conte, un peu féérique, très jolie. Je veux dire, qui ne voudrait pas la chambre de Pénélope ? C’est un bon petit film à voir emmitouflé dans une couverture le dimanche après-midi avec un chat pour bouillote. Bon, en revanche, mesdemoiselles, peu de chance que monsieur vous accompagne… En tout cas, le mien n’a pas été hyper palpité, je crois même qu’il avait fait un repli stratégique dans ses quartiers.
Je suis contente, je n’ai pas trop fait pas de mon amour pour James, mais promis, je me rattraperai dans d’autres chroniques de ses films où là… Je pourrai me lâcher !
Désolée, la Bande Annonce est en anglais, j'en ai pas trouvé de sous-titrée, et la française était immonde. Ceci dit, admirez l'oeil fripon de James quand on le présente huhu (et je parle pas de son accent écossais...)