Mission Impossible : Rogue Nation
Je sais, je sais, ce n’est pas le genre de films qui prédominent sur ce blog. Pourtant, j’aime bien les films d’action, mais quand ils sont réussis. Et Mission Impossible : Rogue Nation est un film d’action plutôt pas mal réussi.
Alors qu’il croit prendre une nouvelle mission, Ethan Hunt se heurte à une organisation criminelle, le syndicat. Il n’a alors plus qu’un but, traquer l’homme qui est derrière tout ça. Parallèlement, Mission Impossible est démantelée, faisant passer Ethan Hunt pour un déserteur très dangereux.
Le film ouvre avec une scène à couper le souffle, que tout le monde a vu dans la bande-annonce, Ethan Hunt accroché à la carlingue d’un avion cargo qui décolle. Comme ça c’est fait, on reste scotché à son siège l’espace de deux minutes et la scène d’ouverture finie et on se demande si le reste du film pourra être à la hauteur de la scène. Et la réponse finale est oui.
Peut-être pas tant pour Hunt, qui cette fois chasse une organisation fantôme à laquelle personne ne croit vraiment à part lui. Mais j’ai envie de dire que son rôle reste très classique par rapport aux autres films. Il faut plutôt voir du côté de Simon Pegg qui joue Benji, informaticien de génie, parfait en acolyte. Son rôle enlève un peu de sérieux à Tom Cruise et permet de petites bouffées d’air frais lors de scènes d’action. Et c’est ça qui fait plaisir dans ce Mission Impossible, il ne se prend pas trop au sérieux.
Isla, jouée par Rebecca Ferguson est le personnage le plus intrigant de ce film. Personnage trouble, on se demande plusieurs fois de quel côté elle est. Du coup, ça crée une dynamique supplémentaire entre son personnage et celui de Hunt. Jeremy Renner, plutôt secondaire a un rôle moins important, mais ça fait toujours très plaisir de le voir. Quant à Sean Harris, il a la tête de l’emploi pour jouer un grand vilain.
Certaines scènes sont à la hauteur de l’ouverture, notamment le passage au Maroc, et l’angoissante scène d’apnée. Je dois bien avouer qu’en général, lorsqu’il y a une scène d’apnée j’y crois pas vraiment, mais là j’ai réussi à me sentir un peu oppressée. Une de mes scènes préférées se passe en Angleterre avec un Premier Ministre qui, ma foi… Je vous laisse la surprise. Et pour la scène final, le décor m’a grandement fait penser à celui du début du premier opus et j’ai trouvé ça plutôt intéressant.
En revanche, je me suis fait une réflexion pendant le film, c’est que j’avais l’impression que Hunt était entré dans le monde de Sherlock (version contemporaine). Benji faisait vraiment un Watson, Isla et Irene Adler c’est un peu la même chose et le méchant m’a fait tellement pensé à un Moriarty.
J’ai passé un vraiment bon moment devant ce film et je pense que ce cinquième opus est mon Mission Impossible préféré !
Alors qu’il croit prendre une nouvelle mission, Ethan Hunt se heurte à une organisation criminelle, le syndicat. Il n’a alors plus qu’un but, traquer l’homme qui est derrière tout ça. Parallèlement, Mission Impossible est démantelée, faisant passer Ethan Hunt pour un déserteur très dangereux.
Le film ouvre avec une scène à couper le souffle, que tout le monde a vu dans la bande-annonce, Ethan Hunt accroché à la carlingue d’un avion cargo qui décolle. Comme ça c’est fait, on reste scotché à son siège l’espace de deux minutes et la scène d’ouverture finie et on se demande si le reste du film pourra être à la hauteur de la scène. Et la réponse finale est oui.
Peut-être pas tant pour Hunt, qui cette fois chasse une organisation fantôme à laquelle personne ne croit vraiment à part lui. Mais j’ai envie de dire que son rôle reste très classique par rapport aux autres films. Il faut plutôt voir du côté de Simon Pegg qui joue Benji, informaticien de génie, parfait en acolyte. Son rôle enlève un peu de sérieux à Tom Cruise et permet de petites bouffées d’air frais lors de scènes d’action. Et c’est ça qui fait plaisir dans ce Mission Impossible, il ne se prend pas trop au sérieux.
Isla, jouée par Rebecca Ferguson est le personnage le plus intrigant de ce film. Personnage trouble, on se demande plusieurs fois de quel côté elle est. Du coup, ça crée une dynamique supplémentaire entre son personnage et celui de Hunt. Jeremy Renner, plutôt secondaire a un rôle moins important, mais ça fait toujours très plaisir de le voir. Quant à Sean Harris, il a la tête de l’emploi pour jouer un grand vilain.
Certaines scènes sont à la hauteur de l’ouverture, notamment le passage au Maroc, et l’angoissante scène d’apnée. Je dois bien avouer qu’en général, lorsqu’il y a une scène d’apnée j’y crois pas vraiment, mais là j’ai réussi à me sentir un peu oppressée. Une de mes scènes préférées se passe en Angleterre avec un Premier Ministre qui, ma foi… Je vous laisse la surprise. Et pour la scène final, le décor m’a grandement fait penser à celui du début du premier opus et j’ai trouvé ça plutôt intéressant.
En revanche, je me suis fait une réflexion pendant le film, c’est que j’avais l’impression que Hunt était entré dans le monde de Sherlock (version contemporaine). Benji faisait vraiment un Watson, Isla et Irene Adler c’est un peu la même chose et le méchant m’a fait tellement pensé à un Moriarty.
J’ai passé un vraiment bon moment devant ce film et je pense que ce cinquième opus est mon Mission Impossible préféré !