En attendant l'été ...
Le mois de Juin. C’est cette période de fin d’année scolaire, un peu stressante à cause des examens qui arrivent, mais à la fois tellement décontractée avec les beaux jours revenus et l’été qui approche.
Je vous dis courage ! Voyez au-delà des feuilles de révision, des salles d’examens, alors qu’il fait un grand soleil dehors et que vous pourriez passer votre temps à bronzer sur ce petit carré d’herbe, juste là.
Pensez à cet été, la plage peut-être, la maison familiale, le soleil, les cigales et la tramontane. Okai, la tramontane c’est pour moi. Je crois que je n’ai jamais autant aimé le vent que chez ma mamie, alors que le soleil cogne à 35°C. Lorsque vous descendez dans le sud, parfois dans les bouchons, et que vous apercevez au loin un petit bout de mer, alors que vous mourrez de chaud dans votre voiture qui a la clim mais que maman ne veut pas mettre, parce que ça consomme trop et que les fenêtres ouvertes c’est tout aussi bien. C’est vrai que les fenêtres ouvertes c’est tout aussi bien. On commence à sentir l’odeur du Sud. Sisi, le goudron brûlant et les gaz d’échappement, c’est la première odeur des vacances.
Pensez-vous sur la plage à bouquiner tous ces bouquins que vous n’avez pas pu lire l’année. Ceux que vous avez patiemment mis de côté, comme Scrat l’a fait pour ses glands, attendant ce jour sacré. Personnellement, je préfère lire des histoires fraîches et pas prise de tête. Mais si vous êtes pavé SF ultra complexe, loin de moi l’idée de vous juger, nous sommes juste à des niveaux différents (et puis les gros pavés, ça fait les bras et ça, c’est bien). Donc, entre deux trempettes, vous salerez, remplirez de sable votre livre et vous vous détendrez. Si vous tombez sur une famille entière avec un livre à la main, c’est probablement la mienne ! Et entre un polar américain, un thriller, un roman scandinave, un autre d’anticipation, si vous voyez quelqu’un lire une romance à la couverture évocatrice, c’est moi (cherchez l’erreur).
Pensez à ces petits marchés de villages, ces épices, ces olives, ces anchois, ce saucisson - mon dieu, ce saucisson -, ces fruits de mer, ces petits fromages. Le tout qu’on vous fait gouter à 8h du matin, parce que votre papa a voulu aller au marché tôt pour éviter la foule des touristes alors que vous vous êtes couché à 2h du matin pour finir votre roman. A 8h, vous avez plus envie de votre oreiller que d’une tranche de saucisson au roquefort.
Pensez à ces après-midis magnifiques passées à écrire devant un paysage grandiose. Je crois que soleil augmente l’inspiration. Inspirez-vous de cette montagne que vous avez grimpée pour observer le panorama de la région, de ces petits chemins en bord de mer qui débouchent sur des criques à l’eau transparente. Allongez-vous dans ce transat et laissez vos pensées vagabonder. Prenez enfin le temps de ne rien faire et laissez votre imagination venir à vous.
Pensez à votre mamie qui a cuisiné toute la journée pour vous faire environ 25 plats. Ces parties de cartes avec votre famille que vous ne voyez qu’une fois par an à cette occasion. Ces rires, ces souvenirs qui vous feront chaud au cœur jusqu’à l’été suivant.
Pensez à ces soirées en bord de mer, dans un petit restaurant qui vous fait découvrir les plats de la région, de ces feux d’artifices qui se reflètent sur l’eau. De ces glaces à l’italienne goût citron et framboise. A ces nuits, fenêtres ouvertes où vous êtes bercés au son des grillons.
Pensez à tout ça pour vous donner un peu de courage devant votre copie blanche.
Et peut-être qu’il pleut, qu’il fait froid, peut-être que vous ne partirez pas en vacances cette année. Alors pour vous, j’ai le remède miracle. LA recette qui vous propulsera sous les cocotiers. La recette qui vous remontera le moral un soir de déprime. La recette qui, moi, m’emporte tout droit au bonheur ultime. Dîtes bonjour à la Passion Curd ! Et à défaut de vous donner la recette des vacances parfaites, je vous donne celle de cette fabuleuse crème de passion.
Je vous dis courage ! Voyez au-delà des feuilles de révision, des salles d’examens, alors qu’il fait un grand soleil dehors et que vous pourriez passer votre temps à bronzer sur ce petit carré d’herbe, juste là.
Pensez à cet été, la plage peut-être, la maison familiale, le soleil, les cigales et la tramontane. Okai, la tramontane c’est pour moi. Je crois que je n’ai jamais autant aimé le vent que chez ma mamie, alors que le soleil cogne à 35°C. Lorsque vous descendez dans le sud, parfois dans les bouchons, et que vous apercevez au loin un petit bout de mer, alors que vous mourrez de chaud dans votre voiture qui a la clim mais que maman ne veut pas mettre, parce que ça consomme trop et que les fenêtres ouvertes c’est tout aussi bien. C’est vrai que les fenêtres ouvertes c’est tout aussi bien. On commence à sentir l’odeur du Sud. Sisi, le goudron brûlant et les gaz d’échappement, c’est la première odeur des vacances.
Pensez-vous sur la plage à bouquiner tous ces bouquins que vous n’avez pas pu lire l’année. Ceux que vous avez patiemment mis de côté, comme Scrat l’a fait pour ses glands, attendant ce jour sacré. Personnellement, je préfère lire des histoires fraîches et pas prise de tête. Mais si vous êtes pavé SF ultra complexe, loin de moi l’idée de vous juger, nous sommes juste à des niveaux différents (et puis les gros pavés, ça fait les bras et ça, c’est bien). Donc, entre deux trempettes, vous salerez, remplirez de sable votre livre et vous vous détendrez. Si vous tombez sur une famille entière avec un livre à la main, c’est probablement la mienne ! Et entre un polar américain, un thriller, un roman scandinave, un autre d’anticipation, si vous voyez quelqu’un lire une romance à la couverture évocatrice, c’est moi (cherchez l’erreur).
Pensez à ces petits marchés de villages, ces épices, ces olives, ces anchois, ce saucisson - mon dieu, ce saucisson -, ces fruits de mer, ces petits fromages. Le tout qu’on vous fait gouter à 8h du matin, parce que votre papa a voulu aller au marché tôt pour éviter la foule des touristes alors que vous vous êtes couché à 2h du matin pour finir votre roman. A 8h, vous avez plus envie de votre oreiller que d’une tranche de saucisson au roquefort.
Pensez à ces après-midis magnifiques passées à écrire devant un paysage grandiose. Je crois que soleil augmente l’inspiration. Inspirez-vous de cette montagne que vous avez grimpée pour observer le panorama de la région, de ces petits chemins en bord de mer qui débouchent sur des criques à l’eau transparente. Allongez-vous dans ce transat et laissez vos pensées vagabonder. Prenez enfin le temps de ne rien faire et laissez votre imagination venir à vous.
Pensez à votre mamie qui a cuisiné toute la journée pour vous faire environ 25 plats. Ces parties de cartes avec votre famille que vous ne voyez qu’une fois par an à cette occasion. Ces rires, ces souvenirs qui vous feront chaud au cœur jusqu’à l’été suivant.
Pensez à ces soirées en bord de mer, dans un petit restaurant qui vous fait découvrir les plats de la région, de ces feux d’artifices qui se reflètent sur l’eau. De ces glaces à l’italienne goût citron et framboise. A ces nuits, fenêtres ouvertes où vous êtes bercés au son des grillons.
Pensez à tout ça pour vous donner un peu de courage devant votre copie blanche.
Et peut-être qu’il pleut, qu’il fait froid, peut-être que vous ne partirez pas en vacances cette année. Alors pour vous, j’ai le remède miracle. LA recette qui vous propulsera sous les cocotiers. La recette qui vous remontera le moral un soir de déprime. La recette qui, moi, m’emporte tout droit au bonheur ultime. Dîtes bonjour à la Passion Curd ! Et à défaut de vous donner la recette des vacances parfaites, je vous donne celle de cette fabuleuse crème de passion.